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23 novembre 2015 1 23 /11 /novembre /2015 20:57

Etre responsable de soi et de sa vie c'est en assumer le cours et le chemin. C'est aussi ne pas rester victime des autres et de son environnement. En devenant responsable on reprend le contrôle de sa vie. Celle-ci devient plus active, plus riche et plus heureuse !

Aller à droite ou à gauche ?
Aller à droite ou à gauche ?

Faire ses choix

A chaque instant de notre vie nous pouvons décider ce que nous allons en faire et quelle direction prendre. En bref, nous avons toujours le choix ! Peu de peresonnes utilisent leur self-coaching et savent diriger leur vie en choisissant de prendre la direction qui leur convient.

Nombreux sont ceux qui s'imaginent qu'ils doivent subir les aléas de la vie et de leur environnement et faire face aux évènements. Elles pensent que leur vie est pré-destinée et qu'ils n'ont aucun pouvoir sur elles et ne peuvent pas vraiment l'inflluencer: surtout d’ailleurs quand les choseds se passent mal !

Le destin n'existe pas

Il est difficile d'affirmer que le destin n’existe pas, tout comme son contraire... que tout est pré-destiné. Depuis longtemps, j’ai acquis la conviction qu’aucune vie ne se déroule selon un programme totalement défini au départ. Nous avons (souvent) toujours le choix ! !

C’est d’ailleurs le plus souvent après coup que l’on peut dire « c’était mon destin ». Bien sûr, certains évènements arrivent indépendamment de notre volonté et nous obligent de faire des choix qui semblent déterminer tout le reste.

Certains tournants sont dictés par la situation du moment, par le « décor » dans lequel nous nous trouvons. Mais dans ces situations ce sont nos choix qui définissent le cours de notre vie.

Si vous êtes d’accord avec cette vision, vous serez d’accord avec moi pour dire que « nous avons presque toujours le choix » de nos actions. Dans de nombreuses situations nous avons fait – même inconsciemment – le choix de passer par ici ou par là, de prendre à droite ou à gauche, de dire oui ou non, en fonction de notre humeur du moment ou de nos aspirations profondes.

Les enfants savent dire OUI ou NON

Très jeunes les enfants sont capables de se déterminer. Les parents sont là pour les guider ou les contrer (?). C’est ce qu’on appelle l’éducation, mais là n’est pas notre propos...car il y aurait fort à dire ! j'y reviendrai un autre jour.

Et même si vous pensez que nous n’avons pas le pouvoir dans toutes les situations, nous avons certainement toujours le choix de voir les choses positivement ou négativement.

Nous savons tous que le regard porté sur les évènements – choisis ou subis, aléatoires ou provoqués, contrôlés comme ceux qui nous échappent - détermine largement notre sentiment que « tout va bien » ou que « tout va mal ».

Si nous regardons les choses de manière positive, nous verrons plus souvent le bon côté et l’issue possible d’une situation délicate. Ainsi nous devenons acteurs de notre vie et savons vite comment rebondir. Au contraire si nous avons le sentiment permanent que tout va mal, nous restons passifs et victime des autres et de notre environnement et notre vie devient difficile, désagréable, voire infernale !

Nous reviendrons plus tard sur les pensées positives ou négatives. Une seule chose est à retenir pour l’instant : nous sommes seuls responsables de nos pensées et de leurs couleurs. Chacun de nous peut décider de voir le bon ou le mauvais côté des situations qu’il traverse.

Ne me croyez pas sur parole.... essayez !

La vie n'est pas un long fleuve tranquille...mais elle peut s'en rapprocher !

Mon site

Etre responsable de sa vie
Heureux qui, comme Ulysse, entreprit un grand voyage.... plein d'aventures et de découvertes !

Heureux qui, comme Ulysse, entreprit un grand voyage.... plein d'aventures et de découvertes !

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 21:53
Arrivés soulagés après un gros effort
Arrivés soulagés après un gros effort

Avancer, progresser, c'est aussi marcher. Parfois il faut se pousser pour démarrer... mais une fois le premier pas accompli, les autres se suivent et le chemin paraît plus facile !!

Sortie "Autour du Grand Chavalard" - Région Ovronnaz (Valais) Suisse

Le 11 octobre 2016 - 8 personnes s'élancent vers les cols et les cimes de cette belle région !

Journée de brouillard en bas qui s'annonce ensoleillée en haut ! Belles conditions pour une randonnée en haute montagne. C'est à 8 que nous partons pour l'Erié au-dessus de Chiboz.

D'Ovronnaz nous suivons la longue route caillouteuse que certains connaissent déjà. C'est jour de chasse - pas évident de croiser ! On joue du klaxon et du volant pour éviter la falaise !!

Après un faux départ, le coup d'envoi est donné: montée en douceur et accueil cordial ​à Lui d'Août (on se promet d'y revenir http://www.luidaout.ch/). On monte dans la combe vers Petit Pré et la plaine d'Euloi à bon pas. Puis vient la longue montée à travers la caillasse, vers le col de Fenestral. Allez on compte: 1-2-3 ... 50 pas à la minute. Et on arrive en haut sans heurt...ça yest, c'est le sommet ! La cabane rutilante nous ouvre les bras et les choucas ouvre leur becs pour attraper les proies. Le gardien est intarissable... il en oublie de tirer les cafés ! Descente en rang serrés et vue plongeante sur le lac de Fully et son barrage. Vu l'heure ps le temps de s'attarder à la chapelle, on remonte dare-dare vers Prampé. La vue sur les Alpes est éblouissante et la descente entre les mélèzes jaunis un régal ! Le verre de l'arrivée est bien mérité... pour affronter les bouchons carrosssés de l'A9. Qui a pris la frontale ? Nous voici arrivés de nuit !!

Promis l'an prochain on revient... mais 2 jours pour se régaler sur une terrasse bien placée.

http://www.chiboz.ch/

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4 janvier 2015 7 04 /01 /janvier /2015 21:42

Le Monde va de plus en plus vite.... du moins les hommes sur Terre croient deveoi aller de plus en plus vite ! Et pourtant.... c'est en prenant le temps que l'on en gagne ! !

Savoir ralentir, s'arrêter... est aujourd'hui un vrai défi de société. L'éloge de la lenteur c'est aussi regarder autour de soi, écouter au lieu de parler, attendre avant de répondre, chercher des points de ralliement plutôt que des points de divergence.

C'est laisser faire, laisser- aller, lâcher prise !  

 

Est-ce l’âge qui me fait prendre la mesure du temps qui reste plus que du temps qui passe ? Certainement ! Et cette envie de lever le pied ?

Mais il y a longtemps déjà que j’apprécie ce qui va lentement.

- Le jardinage, qui demande de la patience, avant que les légumes ne poussent.

- La marche qui me permet de mettre mon corps en mouvement, lentement, mais sûrement....

- Et le voyage….avec lenteur !...en prenant le temps de s’arrêter, d’observer, de rencontrer les gens…d'échanger !!!

Ne vous êtes-vous jamais perdus en voyage ?

J’ai découvert le bonheur de me perdre en voyage !

Ensablés sur une piste tunisienne pour avoir choisi le mauvais itinéraire, j’ai rencontré des nomades qui rejoignaient à pied un hypothétique village perdu à des dizaines de kilomètres.

Avez-vous remarqué que c’est lorsque l’on s’arrête que des choses intéressantes, étonnantes se passent !

C'est en traversant de petits villages en Anatolie Centrale que j'ai découvert des personnages et des paysages inoubliables.

Imaginez, une caravane de motos accompagnée d'un véhicule 4x4 aussi robuste que simple. C'est en 1993 que nous avons traversé la Turquie d'Ouest en Est jusqu'en Cappadoce.

De là nous voulions franchir les Monts Taurus direction plein Sud, vers Antalya. Mais sans carte précise de la région, tout le monde veut nous envoyer par la route principale.

Mais non ! nous voulons traverser la montange !! Personne ne comprend.

Nous poursuivons notre route au hasard des chemins. Finalement; dans un petit village nous tombons sur un instituteur fan de moto. Il parle des bribes de français et s'enthousiasme pour notre projet !

Abandonnant ses élèves à leur sort, il file chercher sa vieille BMW et nous accompagne sur la route qui part à l'assaut des montagnes. Après une quinzaines de kilomètres, il s'arrête et nous fais signe de descendre de nos véhicules. Assis dans un pré, au bord d'une rivière il nous dessine le plan des hameaux à traverser, des bifurcations et des pistes à suivre à travers les Monts Taurus jusque sur la côte sud, vers Antalya.Après de chaleureux échanges de salamalecs, il retourne à sa classe et nous suivons son plan sans savoir exactemenet où nous sommes, ni où nous allons.

Durant 3 jours nous roulons sur des pistes et des hauts plateaux, traversant quelques hameaux et pâturages, dormant en bivouac et partageant le repas avec les bergers, sans pouvoir communiquer sauf avec les mains et les yeux. Trois jours plus tard, nous retrouvons le point exact que l'instit nous avait indiqué, rejoingnant la route qui descend vers la côte et les plages!

Quelle précision ! Nous en sommes tout ébahis et pas peu fiers ! Merci l'instit. Je penses souvent à lui et son regard pétillant... ses élèves étaient bien chanceux !

Une foi encore, notre ténacité, notre goût de l'exploration et de la découverte nous aura récompensés !

Je vous le jure, la meilleure manière de découvrir un pays c’est de s’y perdre !

Les endroits les plus beaux et les plus secrets et intimes que j'ai découvert sur cette planète, c’est en me perdant que je les ai trouvés.

A bon entendeur !!!

A gauche: les hauts plateaux  - au milieu: la carte du sud de la Turquie et les Monts Taurus - à droite: devinez ...
A gauche: les hauts plateaux  - au milieu: la carte du sud de la Turquie et les Monts Taurus - à droite: devinez ...
A gauche: les hauts plateaux  - au milieu: la carte du sud de la Turquie et les Monts Taurus - à droite: devinez ...
A gauche: les hauts plateaux  - au milieu: la carte du sud de la Turquie et les Monts Taurus - à droite: devinez ...
A gauche: les hauts plateaux  - au milieu: la carte du sud de la Turquie et les Monts Taurus - à droite: devinez ...

A gauche: les hauts plateaux - au milieu: la carte du sud de la Turquie et les Monts Taurus - à droite: devinez ...

Pour poursuivre su le sujet..... abordons maintenant l'observation et la méditation. Pour y arriver il s'agit de s'arrêter de bouger.... et arrêter de penser ... si possible.

Si justement c'est si difficile, un bon moyen restez à l'écoute de vos sensations, de votre respiration, de votre position sur les points d'appui (chaise, fauteuil, lit, sol, etc.): ce sont - même en situation d'immobilité - les endroits et moyens pour être attentif à quelque chose d'autre que vos pensées,..... positives ou négatives ! Et rester attentif, attentive à soi.... c'est le tout début de la méditation !! Courage, tout est à expérimenter....

....ne me croyez pas sur parole, expérimentez !! 

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13 octobre 2014 1 13 /10 /octobre /2014 20:55
Eau fraîche, eau pure... fidèle mais changeante, troublante et rafraîchissante !

Eau fraîche, eau pure... fidèle mais changeante, troublante et rafraîchissante !

L'espérance ? est-ce l'espoir ? Non point !!  Pas pour moi 

Mais quelle différence ?

Pour moi l'espoir est presque un combat perdu.... il est tout proche du déseespoir ! Non ???

Tandis que l'espérance c'est la porte ouverte à tout ce qui peut encore arriver !

Comment vivre dans l'espérance.... sans désespoir ?

A mon sens c'est avancer dans la vie avec ouverture d'esprit, les yeux et les oreilles grands ouverts, le nez ... et la bouche aussi ! pourquoi pas ?

Boire goulûment tout ce que la vie peut me donner à vivre, à expérimenter !

Non pas tout gober, mais faire confiance en la vie qui coule en moi et autour de moi !

Chercher et donner sans cesse le meilleur de moi, malgré les tourments, la maladie, les erreurs, les conflits et les rancunes. Continuer d'espérer que demain je pourrai vivre quelque chose d'unique et non reproductible !!

Merveille de la vie aui nous donne à chaque instant l'occasion de faire rectifier nos pas, de redresser notre chemin, de nous pardonner nos erreurs... sans attendre des autres des pardons et des réhabilitations !   

Se tremper dans la rivière de la vie encore et encore, car "on ne se baigne pas deux fois dans la même rivière" ! 

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13 octobre 2014 1 13 /10 /octobre /2014 20:42
Comme une feuille morte…
Comme une feuille morte…

Voici l’automne, des couleurs chatoyantes, des feuilles qui tombent. Les matins sont plus frais, le soleil disparaît plus vite derrière l’horizon… pour aller réchauffer d’autres zones du globe.

Qui pense à cette autre face du globe ? souvent on ne penses qu’à soi et on se dit… « ah le soleil s’en va ! Il va faire nuit, il va faire froid… » Combien de fois avez-vous songé que pendant ce temps le soleil ne s’en va pas… il part réchauffer d’autres pays, d’autres personnes ???

Partageons ce soleil avec d’autres ! … et laissons-nous glisser vers le repos de l’hiver.

Pour apprendre à lâcher prise et accepter les choses qui nous arrivent, nous pouvons nous laisser guider par la métaphore de la feuille morte. Tout d’abord cette feuille a poussé, s’est épanouie, s’est balancée au gré du vent, a fait de l’ombre aux branches de l’arbre et ceux qui se sont installés en dessous. Puis l’automne et le froid sont arrivés. La sève est redescendue, la feuille a jauni, s’est détachée de l’arbre, est tombée par terre.

Il a suffi d’un coup de vent pour que cette feuille soit emportée. Avez-vous remarqué que les feuilles ne résistent pas au vent, ni à la pluie, ni au ruissellement. Elles se laissent emporter vers la rivière, puis vers le fleuve et enfin vers la mer.

La vie serait moins douloureuse si nous étions capables de nous laisser emporter vers l’avenir comme une feuille, capables de nous laisser guider et emporter par la rivière, transporter par le fleuve vers la mer. Sommes-nous prêts à lâcher prise, à vivre d’autres expériences, à nous laisser mourir à nous-même pour renaître à une autre vie !?!

Ne restez pas accrochés. Lorsque le moment viendra, lâchez prise, laissez-vous emporter par la brise, par le courant jusqu’à votre prochain port d’attache, votre prochaine vie.

La vie n’est pas un long fleuve tranquille. La vie est comme un bateau prêt à naviguer. Il entre dans un port, s’y attache pour un temps et puis lève l’ancre et repart vers d’autres cieux. Parfois il doit affronter la tempête, parfois le calme plat… mais toujours il avance, il s’adapte au courant et aux marées, aux aléas climatiques et aux vents qui le poussent.

La feuille morte ou le bateau sont des symboles très forts qui nous permettent de comprendre les soubressauts, les aléas et les ruptures de la vie.

 

Bon vent !!

 

 

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11 octobre 2014 6 11 /10 /octobre /2014 19:32

Comme une feuille morte…

Voici l’automne, des couleurs chatoyantes, des feuilles qui tombent. Les matins sont plus frais, le soleil disparaît plus vite derrière l’horizon… pour aller réchauffer d’autres zones du globe.

Qui pense à cette autre face du globe ? souvent on ne pense qu’à soi et on se dit… « ah le soleil s’en va ! Il va faire nuit, il va faire froid… » Combien de fois avez-vous songé que pendant ce temps le soleil ne s’en va pas… il part réchauffer d’autres pays, d’autres personnes…?!

Partageons ce soleil avec d’autres ! … et laissons-nous glisser vers le repos de l’hiver.

Pour apprendre à lâcher prise et accepter les choses qui nous arrivent, nous pouvons nous laisser guider par la métaphore de la feuille morte. Tout d’abord cette feuille a poussé, s’est épanouie, s’est balancée au gré du vent, a fait de l’ombre aux branches de l’arbre et ceux qui se sont installés en dessous. Puis l’automne et le froid sont arrivés. La sève est redescendue, la feuille a jauni, s’est détachée de l’arbre, est tombée par terre.

Il a suffi d’un coup de vent pour que cette feuille soit emportée. Avez-vous remarqué que les feuilles ne résistent pas au vent, ni à la pluie, ni au ruissellement. Elles se laissent emporter vers la rivière, puis vers le fleuve et enfin vers la mer.

La vie serait moins douloureuse si nous étions capables de nous laisser emporter vers l’avenir comme une feuille, capables de nous laisser guider et emporter par la rivière, transporter par le fleuve vers la mer. Sommes-nous prêts à lâcher prise, à vivre d’autres expériences, à nous laisser mourir à nous-même pour renaître à une autre vie !?!

Ne restez pas accrochés, lorsque le moment viendra, lâchez prise, laissez-vous emporter par la brise, par le courant jusqu’à votre prochain port d’attache, votre prochaine vie.

La vie n’est pas un long fleuve tranquille. La vie est comme un bateau prêt à naviguer. Il entre dans un port, s’y attache pour un temps et puis lève l’ancre et repart vers d’autres cieux.

 

La feuille morte ou le bateau sont des symboles très forts qui nous permettent de comprendre les soubressauts, les aléas et les ruptures de la vie.

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 22:02

En ce début d'année, je reprend ce thème aujourd'hui est ...

"Le premier jour du reste de ma vie..." (Etienne Daho) ....et je déguste cette impression de renouveau.

Après avoir entendu le témoignage de Claude Pinot, je me dis que " je peux le faire" .. quoi je ne sais pas encore, encore faut-il le vouloir !

J'ai le choix, décider de me laisser aller, prendre de vitesse par la maladie ou la combattre, prendre le taureau par les cornes et foncer, me faire plaisir, naviguer, partir à l'aventure...

Il ne me reste qu'à......

Savoir où je vais et y aller

Partager, communiquer,

Etre heureuse d'être envie,

Savourer la vie, la contempler !

La vie est là en moi,

Rien ne peut la détruire,

Sauf moi. Même pas la mort

j'ai le choix, vivre ou mourir

Vivoter ou Savourer,

Instant de lucidité !

Aujoud'hui est le premier jour du reste de ma vie !

Et si j'étais aujourdhui au premier jour....au  soir du premier jour ?

A l'aube de ma vie....

 

Je prend le temps -  volontairement car ce n'est pas mon habitude - de jeter ce soir un regard en arrière.

Oh.. pas très loin, juste les dernières 24 heures.... 

 

Pour relever, souligner, noter les bonnes choses qui me sont arrivées.

 

Des sourires, un regard, une amie rencontrée par hasard....

Une lunière particulière, un muage magnifique, un chant d'oiseau.

Des participants enthousiastes à mon cours.

Une plaisanterie, une odeur suave, un air frais.

Un goût sucré, une boisson fraîche.

 

Oh... rien de bien spécial....

Juste des senstations, perceptions issues de ma vie quotidienne....

 

Juste un bilan de la journée ... avant de me coucher.

 

Je tourne la page... demain est le premier jour du reste de ma vie !

 

Laisse-toi emporter par la vague, elle te portera vers l'inconnu et le grand large !

Laisse-toi emporter par la vague, elle te portera vers l'inconnu et le grand large !

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25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 20:15

Le temps d'une respiration


Hier je vous ai parlé de l'entre-deux. De quoi s'agit-il ?

 

Existe-t-il ? Quel est ce temps ? Le temps de quoi ??

 

L'entre deux est pour moi tout aussi important que tous les temps pleins. Mais qu'est-ce que le temps plein.

Les temps pleins osnt les moments où nous réalisons des actions - des événements - des échanges, des pensées....

 

Mais que se passe-t-il entre ces moments ? C'est un peu comme les neutrinos en physique ou le trou noir en astrophysique. Des temps ou des lieux vides, morts, mais existants.

 

Pour ma part, je considère ces "temps morts" comme des temps plein de vie, de surprise, de possible.....

 

J‘ai acquis par exemple la certitude que le laps de temps entre une respiration et une autre est le moment le plus important de la respiration. Apparemment il ne se passe rien... on inspire, on expire....inspire, expire, etc..

 

Mais entre deux... que se passe-il ? Le temps ne s'arrête pas, la vie ne s'arrête pas... quelque chose se passe. Et il se passe des choses dont on ne se rend pas bien compte me ces moments-là. 

 

Essayez de retenir une respiration, de vous arrêter avant d'expirer... ou d'inspirer à nouveau. Attendez, laissez passser quelques secondes.....

 

J'insiste pour dire que ces espaces qui semblent des temps morts... sont en fait des temps de VIE .... où le temps s’arrête, mais la vie continue et s'enrichit.

Il semble que rien d’important ne se passe, mais c'est le contraire. Ce sont les moments creux, vides qui sont les plus importants. Tout peux s'arrêter ou recommmencer dans ces moments-là.

 

Cherchez à repérer ces moments et utilisez-les pour VIVRE à fond ! Sentez la vie qui coule en vous.

Entre l'expiration et l'inspiration, arrêtez-vous et sentez le coeur qui bat !

 

Entre le feu rouge et le feu vert..... regardez votre voisin en souriant, observez un enfant qui court sur le trottoir,

Chez vous, entre deux activités, arrêtez-vous, ouvrez la fenêtre, respirez !

 

... et reprenez vos acitivités. Vous verrez qu'à la longue vous serez plus attentifs, plus serein aussi.

 

Il y a des intervalles partout: entre le jour et la nuit, entre la veille et le sommeil, entre l'été et l'hiver....

 

Ces moments sont encore plus palpables lors des fêtes, Noël, Nouvel An, Pâques….les gens ne travaillent plus …ou si peu. Le trafic routier s’éclaircit. C’est comme si le temps s’arrêtait, était suspendu. 

 On prend le temps de se dire bonjour, de discuter avec ses amis, sa famille, le temps de ne rien faire, de se laisser aller, le temps de vivre quoi !

 

Tout d’un coup les choses jusqu’ici urgentes et importantes passent au second plan.

 

Et si la vie s'arrêtait là.... juste avant de reprendre la respiration ?

 

Qu'étais-je en train de faire à ce moment-là ??

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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 14:36

Le début ou la fin des choses

A chaque moment, il y a un début et une fin….ou une fin et un début !?

A chaque fin de respiration, c’est le début d’une suivante.

A la fin d’une journée, le début de la nuit.

La fin de la nuit marque le début d’un nouveau jour.

Prends le temps de méditer celà.


Il y a aussi des moments suspendus entre la fin et le début. N’as-tu pas remarqué qu’à la fin d’une journée, la nuit ne vient pas tout de suite….il y a un “entre deux”.

 

Demain je vais parler de l’entre deux.

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23 septembre 2014 2 23 /09 /septembre /2014 21:26
Utiliser les 3 étages pour une bonne stabilité mentale et des décisions claires et assumées

Utiliser les 3 étages pour une bonne stabilité mentale et des décisions claires et assumées

S'affirmer c'est savoir dire non

http://www.activcoach.ch

L'affirmation de soi

Curieusement, une des premières étapes pour s'affirmer est de savoir dire NON ! 

Durant de nombreuseds années j'ai appris à obéir aux adultes, à mes parents, à l'autorité..... tant et si bien que j'ai appris à dire oui, alors que j'avais envie de dire non !

Chacun de nous est amené - enfant - à accepter bon nombre d'injonctions, d'actions et même de pensées auxquelles nous avons adhéré .... contre notre gré !

"Sois gentil" - "Sois parfait" - "Avence plus vite" ces injonctions ont permis à nos éducateurs et parents de nous mener là où ils avaient envie ... une vraie manipulation !

Adulte il est parfois nécessaire de faire la part des choses et revisiter ces mécanismes ancrés au plus profond de nous.

A quel moment suis-je capable de me réapproprier mes décisions ? de faire mon propre chemin ? d'affirmer mes propres pensées.... contre l'avis de mes parents, mes amis, mes professeurs, mon employeur, mes proches parfois ! 

Il en va de notre VIE !

Se réapproprier sa vie 

Ma vie n'est pas la vie des autres et personne n'a le droit de s'immiscer dans la manière que j'ai de conduire ma vie. 

On peut dire de petits NON - dans sa tête - dans le silence pour ne pas choquer ou casser la relation avec l'autre. Pour ma part, je laisse souvent l'autre exposer sa pensée - ce qui me permet de mieux le connaître - je garde le silence ou j'acquiesce sans conviction. Pendant ce temps, j'observe mes pensées, je me fais mon opinion, je réalise où sont mes valeurs, mes croyances, mes aspirations. 

Je peux ne pas renchérir et simplement me taire.

Parfois je peux aussi affirmer mon désaccord et dire franchement - haut et fort - NON !

Lorsque les choses vont trop loin, lorsque je ne suis pas d'accord d'entrer dans un processus, un raisonnement, une démarche, un discours qui ne me convient pas, je peux dire NON.

Passer pour rebelle 

Le risque est minime.... choquer, perdre un ami, passer pour une rebelle .... tant pis ! Je préfère de loin poser clairement mes limites et m'affirmer que de me laisser envahir et perdre mon identité. Mais quel gain de sécurité intérieure, de solidité, d'identité !

Dire NON c'est affirmer son identité. L'enfant tout petit sait déjà le faire. Il doit alors se confronter au NON des adultes, de ses parents. Il apprend à se construire et comprend que son être n'est pas illimité. Qu'il doit composer avec le non des autres.

Ainsi, peu à peu. même à l'âge adulte nous pouvons encore apprendre à dire NON et GRANDIR.

Avez-vous testé le non ? Avez-vous pris le temps de ressentir et repérer le moment, l'action, la situation où vous avez été ailleurs.... c'est déjà bien !

 

Les 3 niveaux décisionnels

L'étape suivante sera d'être de plus en plus proche de soi et de son ressenti. Pour ma part, je les situe à 3 niveaux: la tête, soit le raisonnement, le raisonnable, la logique, selon les normes,...

Le 2ème niveau est le coeur: soit les émotions, les sentiments. Je dois me demander est-ce que mon coeur est d'accord avec la décision ? est-ce que je suis en harmonie avec mes sentiments profonds ??

Et le 3ème niveau est le corps physique. Mon corps participe aussi à mon équilibre. Si je sens physiquement que je ne suis pas à l'aise c'est qu'une partie de moi n'est pas en accord avec la situation.

Dans ce cas mieux vaut renoncer. 

Les 3 parties doivent être en accord pour prendre la bonne décision. Une décision prise en hâte sans consulter les 3 instances est souvent une décision que l'on regrette. Nos 3 étages doivent être alignés pour que la tour tienne ne place et soit solide. 

Ne me croyez pas sur parole.... essayez !

Savoir dire non
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